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9 mai 2013 4 09 /05 /mai /2013 14:49

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L'INSOMNIE

 

 

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Un Français sur trois connaît l’insomnie au moins une fois par an, un sur six s’avoue insomniaque chronique. Plus de la moitié sont des femmes. L’insomnie a toujours une origine interne, transitoire ou durable (maladie, dépression non traitée). Les insomnies bénignes dues à une mauvaise hygiène de vie sont les plus fréquentes : abus d’excitants, soupers copieux, mauvaise literie etc.

 

 

 

Le Chiropraticien vous aidera à faire la part de ce qui relève d’une mauvaise hygiène de vie ou d’autres dérèglements.

 

 

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LES TYPES DE DORMEURS

 

 

 

Les gros dormeurs ne se sentent bien qu’avec 8 à 10 heures de sommeil ; pour les petits dormeurs, 5 ou 6 heures suffisent. La capacité d’adaptation aux changements de rythme est aussi très variable d’un individu à l’autre.

 

 

 

 

 

POURQUOI DORMIR

 

 

 

La période des rêves (sommeil paradoxal) est indispensable à un bon apprentissage,  ainsi qu’à la mémoire. Le sommeil lent est réparateur, car les hormones qui stimulent le développement et la construction des cellules sont secrétées pendant cette phase.  Un enfant privé de sommeil grandit peu ou beaucoup moins que s’il a un rythme régulier. Un adulte qui joue les « prolongations » et se prive de sommeil use sa santé et vieillit précocement.

 

 

 

 

 

LES ORIGINES DE L’INSOMNIE

 

 

 

Les soucis, la tristesse, les difficultés professionnelles, les angoisses du lendemain sont autant de motifs qui perturbent et troublent notre sommeil. La réponse que nous  apportons à ces stimuli extérieurs est fonction de l’état de notre système nerveux.

 

Lorsque l’insomnie est là, c’est que le système nerveux est déjà stressé depuis longtemps et qu’il n’a pas été soutenu correctement. Retrouver le sommeil est la première étape du chemin vers le retour à la santé.

 

 

 

 

 

 

 

LE TRAITEMENT TRADITIONNEL

 

 

 

Le traitement classique est médicamenteux (allopathique) mais la prise de somnifères entraîne des phénomènes d’accoutumance, voire de dépendance. Le sommeil induit par les somnifères n’est pas naturel et n’apporte pas les mêmes phases indispensables à l’équilibre neuropsychique et aux mécanismes réparateurs. La prise de somnifères doit être très ponctuelle. Une approche naturelle qui rééquilibre, plutôt que d’induire artificiellement, doit prendre en compte les causes.

 

 

 

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L’IMPORTANCE DU SYSTEME NERVEUX

 

 

 

Le sommeil est nécessaire à l’équilibre du système nerveux, mais par réciprocité et interdépendance, le système nerveux doit être dénué d’interférence pour que le sommeil survienne et soit de bonne qualité. Les interférences du système nerveux peuvent être de différentes natures :

 

 

 

  • Subluxation ou aberration neuro-vertébrale (Physique)
  • Déséquilibre ou carences métaboliques (Biochimique)
  • Perturbation psychologique (Psychique)
  • Déséquilibre des méridiens (Énergétique)

 

 

 

 

 

L’APPROCHE DU CHIROPRACTEUR

 

Le Chiropraticien, de part sa formation, est un spécialiste des dérèglements liés au système nerveux. L’alternance des rythmes nocturnes et diurnes est contrôlée par le système nerveux autonome et par le système hormonal, lui-même sous contrôle du système nerveux. Le système nerveux autonome contrôle les fonctions physiologiques automatiques (involontaires) ; il est formé de 2 composantes : le sympathique et le parasympathique. Pendant la journée, la dominance du sympathique maintient les fonctions en état d’accélération. Quand vient la nuit, la dominance change et passe au profit du parasympathique qui lui ralentit l’ensemble de notre métabolisme pour nous permettre de trouver le sommeil. Pour que cette bascule s’effectue correctement, le système nerveux, notamment sa composante parasympathique, doit être dénué d’interférences.

 

 

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L’INTERVENTION DU CHIROPRACTEUR

 

 

 

On comprendra aisément que le traitement Chiropratique constitue un véritable traitement de fond et pas uniquement du symptôme.

 

Le Chiropraticien ne traite que les causes et les effets n’ont plus de raison d’être.

 

Le siège principal des interférences possibles du système nerveux se situe au niveau de la colonne vertébrale et notamment des cervicales, siège principal de la composante parasympathique.

 

Dans le cas de dérèglements plus profonds, certaines techniques avancées de Chiropratique permettront de lever la désorganisation neurologique qui perturbait les cycles neurophysiologiques normaux. Cette prise en charge globale et simultanée des différentes composantes  rétablit un état cohérent d’harmonie neuro-physiologique et biochimique (homéostasie) :

 

 

 

v  physique (crânien, neuro-vertébral)

 

v  chimique (précurseurs naturels des neuromédiateurs)

 

v  psychologique (neuro-émotionnelle)

 

v  énergétique (équilibrage des méridiens)

 

 

 

Un dysfonctionnement éliminé à son stade primaire, même s’il est cliniquement silencieux, peut éviter des réactions en chaîne qui aboutissent à la maladie déclarée.

 

 

 

Pour guérir, il faut d'abord comprendre

 

pourquoi on est malade !

 

 

Bruno LECLERC

CHIROPRACTEUR

Diplômé “Doctor of Chiropractic”

du Cleveland Chiropractic College - U.S.A

Kinésiologie Appliquée

Bio-énergéticien

 

88 allée Fleming

76230 BOIS-GUILLAUME

 

02 . 35 . 61 . 24 . 13

06 . 08 . 02 . 28 . 59

 

Site : chiro.over-blog.net

 

 

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9 mai 2013 4 09 /05 /mai /2013 11:19

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MEMBRES & EXTREMITES

 

 

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Qui ne s’est jamais tordu la cheville ou, plus gravement, fait une entorse ?

 

Les sportifs sont encore plus sujets aux problèmes articulaires des extrémités. Le footballeur se plaint des genoux, le tennisman du coude, tout comme le golfeur. Ainsi, il existe de nombreux problèmes liés aux membres supérieurs ou inférieurs, parfois associés à une activité répétitive (microtraumatismes), comme le syndrome du tunnel carpien de la secrétaire ou, suite à un traumatisme direct ou indirect de cette articulation.

 

Nous n’allons pas décrire ici toutes les affections articulaires de façon exhaustive car cela serait trop long mais essayer de vous faire comprendre comment cela fonctionne et quelles sont vos alternatives.

 

 

 

QUELQUES BASES D’ANATOMIE

 

 

 

Les articulations des membres supérieurs englobent : l’épaule, le coude, le poignet, la main, les doigts dont le pouce.

 

Celles des membres inférieurs : la hanche, le genou, la cheville, le pied, les orteils. Chacune de ces régions peut développer un problème, indépendamment des autres, mais le plus souvent d’une façon liée.

 

En effet, surtout dans les articulations en charge (qui supportent votre poids : hanches, genoux), les conséquences d’un problème se répercutent dans la ou les articulations distales ou proximales. La douleur peut aussi être déplacée : un problème de coude peut provoquer des douleurs dans le poignet ou l’épaule et réciproquement.

 

 

 

D’autre part, il est certain que beaucoup de problèmes articulaires périphériques (des membres ou des extrémités), ont pour origine, et pour cause, un problème (subluxation) vertébral, qu’il y ait un signe de douleur vertébrale ou non.

 

Une subluxation (perturbation et interférence neuro articulaire) de la 7èmecervicale peut créer un problème  d’épaule. Même chose, pour les genoux liés à la 3èmelombaire.

 

 

 

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VOUS AVEZ DIT TRAITEMENT !

 

 

 

Les termes médicaux ne manquent pas, tendinite, bursite, entorse, foulure, luxation, ostéite, périarthrite, arthrose… Bien sûr, tous ces mots ont une définition précise et correspondent à un schéma clinique (une présentation de signes et de symptômes).

 

Pourtant, l’arsenal thérapeutique traditionnel est presque toujours le même, surtout lorsque la douleur s’installe de façon chronique ; lorsque les comprimés n’agissent plus contre la douleur, on passe aux piqûres puis, on parle d’infiltrations (corticoïdes) et enfin, d’opération.

 

Suite à un traumatisme important, les chirurgiens ne rêvent que de plaques, de broches ou de vis. Et, s’il est vrai que cela est parfois nécessaire et aussi, quelques fois, très bien fait, il n’en reste pas moins que, tout traitement invasif (chirurgie, ponction, infiltration) ne devrait être employé que lorsque tout traitement conservatif (naturel, doux, sans effet secondaire) s’est révélé insuffisant.

 

 

 

Sachez que malheureusement, trop souvent, certaines méthodes médicales traditionnelles sont employées par pur protocole et sans discernement. Ainsi certaines immobilisations abusives d’une articulation (plâtre quand une attelle aurait suffi ou temps d’immobilisation trop long…) créent de véritables dégâts avec des conséquences  néfastes pour le patient (induration, changement tissus, fonte musculaire conséquente, adhésion articulaire…).

 

Prenez conseil auprès d’un Chiropracteur pour réévaluer l’articulation régulièrement !

 

 

 

 

 

UNE NOUVELLE APPROCHE

 

 

 

Si l’on met de côté les fractures d’origine pathologique ou traumatique qui sont une catégorie à part et qui doivent être référées comme telles aux services médicaux appropriés, il reste un éventail énorme de problèmes allant de la simple douleur intermittente au blocage articulaire complet.

 

La connaissance de l’anatomie et de la biomécanique permet de comprendre les mécanismes articulaires ; pour les résoudre, il faut trouver la cause, où qu’elle soit. Pour accepter là où on l’a trouvée, il faut envisager le corps dans son ensemble, comme un tout devant fonctionner harmonieusement, sans interférence. Ainsi il existe des correspondances entre les différentes articulations qui peuvent provoquer et entretenir un problème articulaire indirectement (une subluxation de la cheville peut entrainer des douleurs de genoux…) les correspondances sont parfois beaucoup moins évidente que celle-là mais un bon Chiropracteur les connait !

 

 

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LE TRAITEMENT CHIROPRACTIQUE

 

 

 

L’action du Chiropracteur s’appelle « Ajustement Chiropratique » lorsqu’elle porte sur la colonne vertébrale. Pourtant, on parle plus librement de manipulation en matière d’extrémité. L’ajustement d’extrémité est une spécialité de la Chiropratique qui n’est donc pas pratiquée par tous. L’évaluation statique et en mouvement, les tests orthopédiques, l’étude graphique de films radiographiques, permettent de repérer la malposition articulaire si elle est présente et de la visualiser dans l’espace anatomique réel. La correction s’effectue d’après ces données, de façon manuelle, dans le respect des limites, donc de l’intégrité articulaire, afin de ne pas être traumatisante.

 

Le Docteur en Chiropratique pourra utiliser des techniques auxiliaires naturelles, pour limiter l’inflammation, l’œdème et la douleur s’ils sont présents et, vous conseiller en matière de rééducation fonctionnelle.

 

Faites les choses dans l’ordre, par respect pour votre corps, allez d’abord à la main, avant d’aller au couteau.

 

Souvenez-vous que, ce qui a été coupé le reste à jamais, alors qu’il est toujours possible d’en faire l’ablation plus tard.

 

 Un dysfonctionnement éliminé à son stade primaire, même s’il est cliniquement silencieux, peut éviter des réactions en chaîne qui aboutissent à la maladie déclarée.

 

 

Bruno LECLERC

CHIROPRACTEUR

Diplômé “Doctor of Chiropractic”

du Cleveland Chiropractic College - U.S.A

Kinésiologie Appliquée

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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 14:28

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SYNDROME VAGAL

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Le syndrome vagal,  est l'association d'un malaise généralement sans perte de connaissance, accompagné de sueurs, de pâleur, de nausées et de vomissements. Plus impressionnant, le malaise vagal, aussi appelé lipothymie vagale, choc vagal ou syncope vaso-vagale ou vagale s'il y a perte de conscience, est un malaise dû à une activité excessive du système nerveux parasympathique via la Xe paire de nerfs crâniens appelée nerf vague.

 

Mécanisme

 

La raison en est la stimulation du nerf  vagal  encore appelé pneumogastrique. Ce nerf a un rôle fondamental dans la motricité de l'appareil digestif. Il se trouve également qu'il provoque un ralentissement du rythme cardiaque ou bradycardie associé à une chute de tension artérielle, aboutissant à une hypo perfusion cérébrale. Si le nerf vagal est stimulé, le cœur va aussitôt se ralentir, ce qui va entraîner une réaction immédiate de l'organisme qu'on appelle l'échappement vagal.

Normalement, le système vagal (système nerveux parasympathique) possède la capacité de ralentir le rythme cardiaque. De son côté, le système nerveux sympathique accélère le rythme cardiaque. En cas de rupture d'équilibre entre les deux systèmes, avec hypertonie vagale, une syncope est susceptible de survenir. Celle-ci se voit plus fréquemment chez un individu jeune en surpoids ou une personne âgée présentant une certaine anxiété, ou à la suite d'émotions ou d'un événement intense ou quelquefois de douleurs violentes.

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Signes et symptômes

 

Certains facteurs favorisent le malaise vagal : la station debout prolongée, une atmosphère chaude ou confinée, après un repas ou une émotion, une réaction phobique (claustrophobie par exemple), une douleur violente ou à la vue du sang, d’une aiguille, etc. La fatigue physique (liée au manque de sommeil), l'hypoglycémie, l'effort physique soudain, sont également des facteurs déclencheurs. Dans certains cas, le facteur peut ne pas être retrouvé.

La victime de ce malaise va ressentir tout ou en partie les symptômes suivants :

  • Grande sensation de faiblesse, de malaise à venir
  • Voile gris ou voile noir (vision troublée)
  • Bâillements
  • Faiblesse musculaire brutale entraînant souvent une chute si le sujet est debout (le sujet s'évanouit)
  • Respiration ample
  • Sueurs
  • Nausées, voire vomissements
  • Perte de connaissance, parfois accompagnée de convulsions
  • Maux de ventre et diarrhée
  • Maux de tête (céphalée)
  • Sécheresse de la bouche
  • Bouffées de chaleur importantes
  • Acouphènes uni ou bilatérales
  • Picotements dans les extrémités (mains, pieds, sommet du crâne, juste avant de perdre connaissance)

Le malaise peut être isolé, mais peut parfois être récidivant.

D’autres conséquences peuvent être associées au syndrome vagal du fait de l’étroite relation avec les hautes cervicales sans que personne ne fasse le lien. On peut citer de façon non exhaustive, l’insomnie, les problèmes de concentration, un sentiment de tension, d’angoisse presque chronique, de déprime, voir même de dépression… L’équilibre neuropsychique dépend beaucoup de l’intégrité fonctionnelle des hautes cervicales indépendamment de toute douleur… Le Chiropracteur saura faire le lien et réunir ces troubles sous une seule et même cause et la traiter.

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Traiter la cause et pas juste masquer le symptôme

 

Soyons clair, dans le malaise vagal il y a implication du nerf vague qui est aussi appelé nerf pneumogastrique ou nerf crânien X. La relation anatomique étroite entre le nerf vague et la base du crâne (occiput, foramen jugulaire) et les hautes vertèbres cervicales (Atlas, C1) est source d’irritation ou de compression. La zone derrière le lobe de l’oreille est souvent plus sensible au toucher ou à la pression d’un coté.

L’irritation d’une racine nerveuse crée un stimulus et engendre un mécanisme de facilitation de la conduction de l’influx nerveux qui déclenche une réaction perverse et inattendue.

 

L’irritation de la racine nerveuse est subtile et multiple par le biais des tissus environnants (muscles, vaisseaux..) mais l’endroit de prédilection des compressions est au niveau crânien ou vertébral (foramens ou trous de conjugaison). Pour vous rendre compte sachez qu’une pression du poids d’une pièce de 10 c€ diminue d’influx passant de 50%.

On sait également que l’étirement ou la torsion des méninges enveloppant cerveau, moelle épinière et racines nerveuses modifie la conduction nerveuse.

Une légère rotation et ou latéralité au niveau des hautes cervicales souvent couplé à un glissement antérieur (antérolysthésis) ou postérieur (rétrolysthésis) suffit à produire une interférence.

C’est à ce niveau qu’intervient  le Docteur en Chiropratique en décelant et éliminant l’interférence neuro-vertébrale par une correction manuelle spécifique. Ce geste est réservé aux Chiropracteurs qualifiés (attention la mode est aux techniques manuelles et certaines personnes insuffisamment qualifiées outrepassent leurs droits).

Une étude radiographique propre à la profession est effectuée pour écarter toutes contre indications à l’ajustement chiropratique d’une part et évaluer notamment les relations entre la base du crâne, la première (atlas) et seconde cervicale. Différents tests orthopédiques et neurologiques (test de l’artère vertébrale) peuvent être effectués préalablement.

Les techniques Chiropratiques différent d’autres techniques manipulatoires par plusieurs critères sécurisants comme notamment : l’utilisation de leviers courts, le respect de l’amplitude physiologique normale de l’articulation, la rotation limitée et allant dans le sens de la correction uniquement, la correction ne forçant pas le mouvement douloureux. Contrairement à la manipulation grossière, l’ajustement chiropratique peut sans problème être répété fréquemment si nécessaire.

Toute autre pathologie sous-jacente écartée, la Chiropratique est l’approche la plus logique pour gérer le syndrome vagal.

Bruno LECLERC

CHIROPRACTEUR

Diplômé “Doctor of Chiropractic”

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24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 19:37

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REEDUCATION  FONCTIONNELLE 

 

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Vous êtes  en rééducation fonctionnelle après un accident et vous ne progressez plus, pas ou peu !

Certains blocages articulaires peuvent limiter vos progrès… La Chiropraxie est très efficace pour restaurer un fonctionnement articulaire normal. L’ajustement articulaire chiropratique contribue à récupérer l’amplitude de mouvement perdu.

Chaque technique a sa raison d’être mais aucune ne peut remplacer une correction ostéo-articulaire spécifique chiropratique. L’effet de synergie avec votre rééducation traditionnelle (kiné…) vous fera progresser plus rapidement.

 

 

 

Préambule

 

Comprenez bien que notre but n’est pas ici de détourner les patients de leur centre de rééducation fonctionnel ou de leur kiné car nous sommes pleinement conscients du travail important réalisé dans ces établissements et nous ne voudrions aucunement essayer même de nous y substituer. 

En revanche, il est inconcevable qu’une profession aussi importante que la Chiropraxie ne soit pas partie intégrante des soins de rééducation en France comme elle l’est aux USA, en Suisse et dans la majorité du reste de l’Europe et du monde. Les patients sont bien obligés de faire avec ce que l’on leur propose mais il est navrant de les voir progresser si lentement et conserver des limitations qui auraient pu être dépassées avec des soins chiropratiques conjoints.

Pour tout vous dire, c’est ma propre expérience de rééducation après un accident de moto qui m’a poussé à m’investir dans ce domaine. Et ce relativement petit traumatisme (mais grand en conséquences car il touchait l’outil principal pour exercer : ma main), comparé aux grands accidentés, m’a permis  de vivre l’apport inestimable des soins de ma propre profession. Je ne parle pas de baguette magique car rien ne remplace le temps de guérison nécessaire mais de progrès significatifs indéniables juste derrière les ajustements chiropratiques.

N.B : Vous devez être stabilisé (pas de fracture ou d’instabilité majeure) pour ces soins effectués avec radiographies demandées.

 

 

De la peinture sur la rouille !

 

Le deuxième paradoxe dans l’approche de la rééducation telle qu’elle est actuellement pratiquée sans l’apport chiropratique est l’ordre d’application des différents traitements. En effet, il est illogique de vouloir faire fonctionner par la rééducation passive ou active, une articulation subluxée donc qui n’est pas biomécaniquement alignée. Vous viendrait-il à l’idée de faire aller et venir une porte qui n’est pas dans ses gonds dans l’espoir de la rééduquer ? Non, vous commenceriez par la réinstaller sur ses gonds puis par de petit mouvement avec un peu d’huile à la dégripper.

Et bien, ce simple bon sens n’est pas appliqué. L’absence d’aberration articulaire devrait être vérifié et corrigé si besoin avant tout, afin de permettre une possibilité de mouvement sans contrainte.

 

 

Quelle technique ?

 

Qu’offre de plus la chiropratique par rapport aux autres techniques manuelles ? Justement, elle fait toute la différence par ses techniques spécifiques et le contrôle du geste. L’illusion du « doux» ostéo  montre vite ses limites à un certain point de l’évolution de la rééducation. Il est courant de devoir traiter à nouveau un segment corrigé insuffisamment en ostéo parce que la mobilisation n’a pas restauré l’amplitude de mouvement comme il se doit. Pourquoi se contenter de 1/10em de degré quand on peut gagner des degrés. Plus vite le mouvement est restauré moins grave seront les conséquences d’adhésion et de dégénérescence articulaire. Un kiné n’est pas un Chiro même s’il est ostéo ! En revanche, un Chiro a été formé aux différentes techniques de physiothérapie.

Une confusion est volontairement entretenue entre Ajustement Chiropratique et manipulation (faite par les manipulateurs en tous genres) Sachez que si les gestes se ressemblent pour un néophyte, la différence est bien réelle et détermine le degré de risque que vous prenez ! Ce risque est fondé sur le fait que la manipulation utilise des leviers longs et ne respecte pas l’amplitude physiologique normale de l’articulation. Elle force et devient donc traumatisante donc inconciliable avec votre rééducation. Le Chiro a un geste plus spécifique, limité, non traumatique et donc adéquat. Certaines techniques par exemple de tissus mous sont propres à la profession Chiropratique. Savez-vous par exemple, qu’il est possible de faire évoluer des cicatrices ?

 

 

Les tissus ne se valent pas

 

Dans tout trauma musculo-ostéo-articulaire, est généré un minimum de micro lésions des différents tissus (muscles, tendons, ligaments, capsule…) Des mécanismes de réparation vont prendre place en passant par des phases (œdème, inflammation, douleur…) nécessaires. La gestion de ces phases est trop souvent excessive et inadaptée (immobilisation totale et trop longue, trop d’anti-inflammatoire et d’antalgique…) la conséquence est une reconstruction de tissus d’un autre type que celui d’origine : Tissu cicatriciel au lieu du tissu tendineux … Le problème est que ce tissus cicatriciel n’a pas les mêmes propriétés, notamment élastiques, que le tissu souple d’origine et cela bridera la récupération biomécanique et donc la mobilité finale. Deux autres mécanismes pervers liés à l’immobilisation excessive sont la fonte musculaire et la dégénération articulaire. La fonte musculaire est rapide puisqu’elle commence 72 heures après mais elle est réversible avec de gros efforts (plus facile à perdre qu’à gagner).

 

 

Exigence et Complémentarité

 

La Chiropraxie ne se targue pas de pouvoir tout faire à elle seule et veut s’inscrire dans la complémentarité des soins de rééducation.

Le protocole médical traditionnel est trop souvent fataliste et ne va pas jusqu’au bout des choses. La Chiropraxie est plus exigeante  car nous savons par expérience dans nos cabinets ce qu’il est vraiment possible d’obtenir si les soins chiropratiques interviennent à temps.

N’acceptez pas toutes vos limites comme une fatalité et battez-vous avec les bonnes armes !

 

 

L’essayer et l’adopter

 

L’expérience des soins chiropratiques est unique alors faites l’expérience par vous-même. Combien de patients me disent après traitement « Pourquoi mon médecin ne m’a-t-il pas référé chez vous ? » Soit parce qu’il n’a aucune idée de ce que nous savons faire, soit que cela touche un peu trop son égo ! Combien de patients voyons-nous qui ont perdu un temps énorme et enduré des souffrances inutiles !

 

 

Est-ce que la Chiropraxie est efficace ? 

 

Oui. La Chiropraxie est devenue la troisième profession de santé dans le monde depuis ses débuts il y a plus de cent ans. Ceci en raison de son efficacité et des résultats observés par les patients. De nombreuses études ont démontré la supériorité des soins chiropratiques par rapport aux autres soins pour des problèmes neuromusculaires notamment des maux du dos, cervical et maux de tête, migraine, colique du nourrisson, otite, etc.

  • 1ère profession de santé manuelle du Monde !
  • 2 ème profession de santé des USA (après la médecine).
  • 3 ème profession de santé du Monde (après la médecine et la dentisterie).

 

Aujourd‘hui La Chiropraxie est reconnue en France depuis avril 2002. Ses décrets d’application de 2010 définissent la rééducation dans son domaine d’application mais elle reste encore trop méconnue du grand public français contrairement aux Américains.

 

 

Est-ce que cela fait mal de recevoir un ajustement ? 

 

Non. Les patients sont souvent surpris de la douceur du geste d'ajustement. Il peut y avoir une très légère douleur lors du contact sur la vertèbre mais cela ne dure que quelques secondes.

 

 

Mon rôle consiste à partager avec vous ce que j'ai appris, afin de vous aider à acquérir davantage d'autonomie sur le plan de la santé et de la compréhension des lois naturelles auxquelles nul n'échappe.

 

 

 

Bruno LECLERC

CHIROPRACTEUR

Diplômé “Doctor of Chiropractic”

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17 septembre 2010 5 17 /09 /septembre /2010 06:59

 




Dans le monde surexcité où nous vivons, il est virtuellement impossible de ne pas rencontrer le stress. Chacun de nous est sujet à un stress émotionnel constant, en effectuant la routine quotidienne.

 

 

 

Nous communiquons souvent avec des personnes qui vivent dans des conditions particulièrement stressantes et leur attitude envers les autres est parfois empreinte d'agressivité, ce qui constitue un stress pour eux s'ils réagissent de la même façon, c'est une réaction en chaîne qui s'installe.

La fatigue et la tension dues au surcroît de travail ou au manque de sommeil, sont une cause de stress. Conduire sa voiture lors du trajet quotidien pour aller travailler fait partie des activités simples, qui constituent un stress répétitif.

 

  


Pouvons-nous mettre un stop à une vie stressante ? Non, pas complètement. Une certaine quantité de stress fait partie inhérente du monde où nous vivons. Lente­ment mais sûrement, nous modifions notre environnement et nous créons énormément de situations stressantes. Nous voyons qu'il n'est pas possible d'en réduire le nombre mais, pour celles qui subsistent, il nous faut apprendre comment éviter les répercussions nuisibles que le stress produit sur notre être.

 

 

Cela n’est possible que si notre système nerveux fonctionne à 100% sans interférence et si nous ne sommes pas en état de désorganisation neurologique afin que nos programmes de survie s’enclenchent.

 

 

Le mécanisme de réponse du corps

 

Quels sont les mécanismes de réponse de notre corps au stress ?

Une réponse immédiate au stress est pro­duite par un système très complexe, le système hormonal. L'action majeure de ce système, dans un cas de stress, est connu sous l'expression "fight or flight" que l'on peut traduire par " combats ou fuis ". Dans ce syndrome, les glandes surrénales, situées au-dessus des reins, sécrètent une hormone très puissante appelée adrénaline. Vous ressentez l'excitation quand l'adréna­line est déversée dans votre système, afin de vous permettre de faire face à la situa­tion. Si ce mécanisme n'était pas présent, ce serait l'effondrement sur place. Et, quand cette réponse ne fonctionne que de façon incomplète, nous ressentons des moments de faiblesse auxquels nous répon­dons par la frustration ou la colère. Le système nerveux autonomique stimule la production de l'hormone appelée adréna­line qui est aussi responsable d'actions visant à calmer la douleur, ou agit au niveau de la circulation sanguine et du sang pour lui permettre de coaguler plus vite et, encore dans l'augmentation de la production de globules blancs. Notre coeur bat plus vite et la pression artérielle est aussi élevée par cette même réaction. La capacité de transport en oxygène des globules rouges augmente afin de pouvoir brûler plus d'aliments. Le foie est lui aussi stimulé pour produire davantage de sucre pour les muscles et le cerveau.

Toutes ces réactions, produites par ces petites glandes surrénales, ne sont qu'une faible énumération des mécanismes déployés pour faire face au stress, c'est-à-dire pour augmenter notre pouvoir d'adaptation.

   
 

Le système nerveux contrôle

 

L'intelligence réside dans l'organisation du corps humain qui est placé sous protec­tion "constante" et sans laquelle nous serions incapables de survivre très longtemps. Remarquons malgré tout que certaines personnes résistent à un degré de stress supérieur, sans tomber malades ou être touchées émotionnellement. Ceci parce que notre système hormonal complexe et délicat est placé sous contrôle "direct" du système de régulation du corps : le système nerveux.

Parce que le stress est un fait quotidien, nous ne pouvons nous permettre un système nerveux ne fonctionnant qu'à temps partiel. Nous avons besoin de toute notre informa­tion nerveuse, à tout moment. Pour cela, les nerfs rachidiens sortant de la moelle épinière, entre chaque vertèbre, doivent être dépourvus d'interférences, c'est-à-dire non comprimés ou irrités par une subluxation (déplacement mineur) vertébrale. Sinon, les glandes du système hormonal ne recevant qu'une information partielle de l'état présent de notre corps, ne produisent qu'une réaction partielle.

 

Malheureusement, nos activités quotidiennes, telles de longues périodes assises, sont des causes premières de stress direct sur notre colonne vertébrale. La somme répétée de ces micro­traumatismes et les tensions musculaires éventuellement associées, vont progressive­ment dévier et fixer certaines articulations de notre colonne vertébrale (sacro-iliaques, facettes, disques, atlanto-occipitale) et fautes crâniennes avec les conséquences que nous avons déjà évoquées précédemment.

 

Seul un contrôle Chiropratique peut vous édifier sur ce bilan !!!

 

 

 

Un dysfonctionnement éliminé à son stade primaire, même s’il est cliniquement silencieux, peut éviter des réactions en chaîne qui aboutissent à la maladie déclarée.

 

 

Pour guérir, il faut d'abord comprendre

pourquoi on est malade !

 

 

Bruno LECLERC

CHIROPRACTEUR

Diplômé “Doctor of Chiropractic”

du Cleveland Chiropractic College - U.S.A

Kinésiologie Appliquée

Bio-énergéticien

 

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25 mai 2009 1 25 /05 /mai /2009 21:59

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FASCIITE PLANTAIRE, METATARSALGIE, HALLUX VALGUS...

 patient2

 

 

Les problèmes de pieds et de cheville sont nombreux :

 

 

 

*      Fasciste Plantaire

 

*      Méta tarsalgie

 

*      Ténosynovite

 

*      Oignon ou Hallux Valgus

 

*      Névrome de Morton

 

*      Epines Calcanéenne

 

*      Bursites

 

*      Pieds creux ou plats

 

*      Entorses…

 

 

 

De belles étiquettes savantes pour cacher beaucoup d’ignorance…

 

 

 

ANATOMIE DU PIED ET CHEVILLE

 

 

Le pied comprend pas moins de 26 os et donc autant d’articulations qui peuvent être biomécaniquement défectueuses.

 

Globalement le pied peut être comparé à un édifice à deux voutes, l’une longitudinale et l’autre transversale. Et la cheville est comparable à un système de tenon et mortaise. La grande majorité des problèmes rencontrés sera lié à une aberration articulaire retentissant sur un ligament, un tendon, un nerf ou une aponévrose (enveloppe fibreuse).

 

 

foot plantar fasciitis anat01[1]

 

 

PREAMBULE

 

 

 

La baguette magique n’existe pas. Aucune technique n’obtient 100% de succès. Notre responsabilité est de faire au mieux de nos possibilités avec l’état actuel du patient. Malheureusement, nous voyons trop souvent des patients trop tard ou trop limite pour une récupération complète. N’attendez pas ! Plus un problème est traité à la base plus vous avez des chances de guérir. Si vous attendez d’avoir les pieds déformés et arthrosés pour venir consulter après des années, nous serons beaucoup plus limités.

 

Les épines ou éperons calcanéens sont une adaptation structurelle des tendons pour résister à l’arrachement. Il eut fallu soulager cette articulation avant !!!

 

 

 

article-new ehow images a04 op ii wrap-foot-plantar-fasciit

 

 

 

 

FASCIITE PLANTAIRE

 

 

Le fascia plantaire est un tissu conjonctif épais tendu sous l'arche du pied. C'est donc une enveloppe fibreuse qui va de la tubérosité du calcanéum (talon) aux métatarses (base des orteils).

 

 

 image gallery[1]

 

 

Cette fascia est tendue sous le pied et les contraintes qu’elle subit sont directement liées à l’équilibre structurel du pied, du talon, de la cheville et des orteils… La fasciite plantaire est une conséquence inflammatoire de cette aberration biomécanique du pied au sens large. La voute plantaire est déterminante dans cette structure mais son intégrité fonctionnelle est relié au bon fonctionnement neuro musculaire d’une chaine situé en amont dont l’innervation se situe au niveau lombaire. Ces connaissances sont malheureusement étrangères a beaucoup de thérapeutes dont l’approche est quasi uniquement symptomatique donc incomplète.

 

L’approche Chiropratique appréhende le problème dans sa globalité avec des techniques qui lui sont propre et en les mixant parfois avec des techniques plus conventionnelles qui ne fonctionneraient pas seules. Nous travaillons aussi bien sur la structure que les tissus mous (muscles, fascia, ligaments, tendons…)

 

 

 

META TARSALGIE

 

 

 

Les algies liées aux métatarses peuvent se manifester aussi bien à la base, au milieu qu’à la partie distale ou tête de métatarse qui produise des algies sous la base des orteils avec formation de cale.

 

 

 Syndrome-de-Morton-copie-1.jpg

 

 

TENOSYNOVITE

 

 

La ténosynovite forme une sorte de virole sur une gaine tendineuse qui produit une inflammation de plus en plus douloureuse tandis que la virole grossit.

 

 

 

 

OIGNON ou HALLUX VALGUS

 

 

Cette déviation latérale du gros orteil créant une proéminence parfois douloureuse peut être contrôlée en chiropratique si elle est prise à son début par des ajustements de plusieurs parties du pied, de la cheville et du gros orteil lui-même.

 

  pho21[1]

 

 

 

TRAITEMENT CHIROPRATIQUE

 

 

L’ajustement des extrémités pour les problèmes cités ci-dessus est une spécialité qui requière à la fois un savoir (examen & analyse…) mais surtout un savoir-faire (plusieurs techniques adéquates maîtrisées)

 

 

Plantar-Fasciitis-2[1]

dor10966907

 

 

Un dysfonctionnement éliminé à son stade primaire, même s’il est cliniquement silencieux, peut éviter des réactions en chaîne qui aboutissent à la maladie déclarée.

 

 

 

Mon rôle consiste à partager avec vous ce que j'ai appris, afin de vous aider à acquérir davantage d'autonomie sur le plan santé et de compréhension des lois naturelles auquelles nul n'échappe.

 

 

 

Pour guérir, il faut d'abord comprendre

 

pourquoi on est malade !

 

 

 

 

Bruno LECLERC

CHIROPRACTEUR

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30 mars 2008 7 30 /03 /mars /2008 09:10

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SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN

 

 

 

 

Le syndrome du tunnel carpien, appelé aussi syndrome du canal carpien (SCC), est en augmentation croissante depuis les années 80 avec l’avènement  de l’informatique individuelle. Plus fréquent après 45 ans à la ménopause ou chez les femmes enceintes.

 

DÉFINITION

 

Affection neurologique ; compression du nerf médian dans le tunnel carpien, formé par le ligament carpien transverse et les os carpiens. Ce syndrome peut être associé à des traumatismes professionnels répétitifs (troubles traumatiques cumulatifs), traumatismes du poignet ; neuropathies, grossesse ou d’autres maladies.

 

 

 

SYMPTOMES

 

*     Douleur brûlante.

*     Douleur nocturne.

*     Fourmillements dans les doigts.

*     Engourdissements de la main.

*     Paresthésies à la surface ventrale de la main et des doigts avec radiation proximale.

*     Une diminution de la sensation de distribution du nerf médian.

*     Maladresse des doigts lors des gestes fins.

*     Œdème de la main et des 3 premiers doigts.

*     Hypersudation palmaire.

*     Amyotrophie thénarienne.

*     Troubles objectifs de la sensibilité et de la motricité.

*     Faiblesse et la perte graduelle de la dextérité (difficulté à tenir un crayon ou un objet, à serrer la main).

 

 

EXAMEN ET TESTS

 

Signe de Phalen : on demande au patient de plier le poignet en dirigeant la paume de la main vers l'avant-bras pendant une minute.

 

 

Le dynamomètre de préhension de Jamar permet de mesurer la force des fléchisseurs et d’évaluer le degré d’atteinte neurologique motrice.

 

 

Test de Tinel : Percussion  du canal carpien.

 

 

Un électromyogramme : test de conductivité. Pas très agréable à subir pour le patient. D’un intérêt très relatif.

 

 

 

TRAITEMENTS CLASSIQUES

 

Ø      L’immobilisation (ne fait que déplacer temporairement le problème)

Ø      Les infiltrations de corticoïdes (efficacité limitée dans le temps)

Ø      Kinésithérapie (inadéquate)

Ø      Chirurgie (80'000 / an ; toute chirurgie comporte un risque : anesthétique, septique nosocomial : Staphylocoque doré et autres !)

La chirurgie doit rester l’issue de dernier ressort !!!

 

 

APPROCHE CHIROPRATIQUE

 

Le nerf médian prend son origine dans les racines nerveuses C6, C7, C8 et D1. Les paresthésies dans la région de la main et des doigts peuvent résulter d’interférences situées tout le long du nerf médian.

 

Basé sur cette constatation anatomique et grâce à son expertise palpatoire, le Chiropraticien saura trouver les conflits articulaires avec le nerf médian qui peuvent avoir plusieurs localités et saura les réduire. C’est parce que sa vision du problème est plus élargie et sa compréhension plus globale qu’il peut traiter les causes et non uniquement masquer le symptôme.

 

Le syndrome du canal carpien est au moins une "double compression" : le nerf est compressé d'une part au niveau de la colonne vertébrale et d'autre part au niveau périphérique ou distal.

 

 

 

Disons-le clairement, la première approche du syndrome du tunnel carpien doit être par la Chiropratique parce que cela est logique. Pourquoi ? Parce que c’est l’approche la plus conservatrice avec la meilleure prise en charge globale du problème. Traiter que le poignet n’est pas suffisant mais l’éducation des patients est orientée sur le symptôme par la médecine conventionnelle. C’est justement là que la Chiropratique fait toute la différence en remontant jusqu’aux causes premières. Masquer le symptôme ne vous apportera rien de durable alors que traiter l’ensemble des causes, non seulement fera disparaître votre symptôme mais améliorera l’ensemble des fonctions qui étaient limitées par ces interférences. Ainsi, la zone cervicale traitée pourra améliorer : la mobilité du cou et de al tête, la force musculaire du bras et de la main, la dextérité des doigts, la circulation sanguine et lymphatique dans les extrémités, le fonctionnement de l’épaule et du coude, le fonctionnement thyroïdien, l’asthme, le reflux gastro-œsophagien …

 

 La Chiropratique est la 3ème profession de santé au monde ; depuis plus de 100 ans aux Etats-Unis, des millions d’ajustements (acte Chiropratique) sont prodigués journellement. La Chiropratique vous offre une alternative naturelle, non invasive et sans effet secondaire, qui permet à de nombreux patients de retrouver un usage normal de leurs mains. D’autres bénéfices directs : meilleure mobilité, coordination, force, dextérité mais aussi, détente, absence de spasme (torticolis), crampe ou céphalée sont également manifestes. Certains  sont insoupçonnés : régulation de, problème ORL ou de toux, l’asthme, la thyroïde, la déglutition. 

  

Le Chiropraticien jouera également un rôle important dans l’apprentissage des postures et de l’ergonomie dans un but curatif et préventif d’éventuelles récidives. L’agencement de son espace de travail autour de l’ordinateur et des différents réglages de hauteur est capital pour ne pas développer d’autre syndrômes neuro-squeletto-musculaires.

 

Un dysfonctionnement éliminé à son stade primaire, même s’il est cliniquement silencieux, peut éviter des réactions en chaîne qui aboutissent à la maladie déclarée.

 

 

Bruno LECLERC

CHIROPRACTEUR

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4 mars 2008 2 04 /03 /mars /2008 20:36

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ACOUPHENES & HYPERACOUSIE

 

 

 

 

Ça siffle, ça bourdonne, ça tape, ça tinte, ça sonne dans les oreilles...

 

Les acouphènes touchent 10 à 17 % de la population mondiale et 2% pour l’hyperacousie. 2,3 millions de Français dont 1,6 qualifient leur acouphène d’" agressif ", et 300.000 d’" intolérable "

Environ 200 000 nouveaux cas par an.

Une vraie calamité et pourtant peu de solutions !!!

 

DEFINITIONS

 

Définitions classiques car mon propos n’est pas là !

 

*    ACOUPHENES : est un bruit subjectif, entendu sans cesse, jour et nuit, " dans l’oreille " ou " dans la tête ", sans aucun stimulus sonore extérieur. Dans 95% des cas, le patient est le seul à " entendre " son acouphène. Il ne s’agit pas d’une hallucination auditive : des techniques d’imagerie médicale sophistiquées permettent d’" objectiver " l’acouphène. La plupart du temps, l’étiologie de l’acouphène n’est pas clairement identifiée.

 

*    HYPERACOUSIE : désigne une intolérance aux bruits, même les plus banals. Souvent la séquelle d’un traumatisme acoustique, accompagne l’acouphène dans 40% des cas.

 

 

LES CAUSES CONNUES

 

o       Destruction partielle des cellules de l’oreille interne.

o       Grand dépôt De cérumen dans l'oreille externe.

o       Pathologies connues : l’otospongiose, le neurinome de l’acoustique, fracture du rocher, hyperthyroïdie, hypertension, hypercholestérolémie, Maladie de Paget, anémie…

o       Effets secondaires de médicaments : Plus d’une centaine dont l’aspirine, des diurétiques, certains anti-inflammatoires non stéroïdiens, des antibiotiques de la famille des streptomycines, les contraceptifs oraux…

o       traumatisme sonore ou barométrique, ou un choc émotionnel.

 

 

LA MEDECINE CLASSIQUE

 

Vous aurez constaté que ce symptôme n'est pas réellement pris en compte par le corps médical. Les traitements médicamenteux se limitent aux vasodilatateurs et oxygénateurs périphériques, et aux anxiolytiques, d’efficacité variable mais qui constituent néanmoins une aide pour ne pas craquer.

 

Jusque là rien de nouveau

 

DES CAUSES MECONNUES

*    Intoxication par certains métaux lourds comme le mercure contenu dans les amalgames dentaires.

*    Contractures plus ou moins violentes des muscles du cou.

*    Dérèglement hépatique.

*    Libération excessive de neuromédiateur (glutamate) source d'hyperstimulation du nerf auditif correspondant en quelque sorte à une petite épilepsie du nerf auditif.

*    Troubles des mouvements de la mâchoire (articulé dentaire ou occlusion)

 

*    La liste est bien plus longue et comme notre profession est menacée d’être récupérée et assimilée, je n’en dirais pas plus mais assez pour vous faire comprendre que le niveau de compréhension est bien plus global.

 

De là, si vos idées sont toutes faires et arrêtées : « on en guérit pas ! » ou « il faut s'y habituer et vivre avec » C'est que vous vous êtes déjà programmé à la résignation. Et ne perdons pas notre temps en polémiques.

Si au contraire, vous  vous accrocher à l'espoir de trouver la Solution à votre problème, cette information peut changer votre vie !

 

Sachez également que je ne possède pas de baguette magique à acouphène, ni de pilule miracle !!!

 

TOUT EN UN

 

Les acouphènes sont liés à l’oreille interne qui est liée au crânien et à la mâchoire liés au muscles de la mastication innervés par  des nerfs  crâniens et cervicaux liés aux vertèbres cervicales…

L’énergie de l’oreille est liée à certains méridiens qui dépendent de l’équilibre vertébral qui dépendant de l’équilibre du bassin mais aussi de l’équilibre biochimique de votre milieu intérieur qui dépend de votre alimentation…

 

Cette approche gère les différents paramètres de santé qui vous ont amenés à cet état symptomatique chronique.

Avec votre aide et un peu de temps, nous pouvons inverser le processus.

 

Ce protocole particulier regroupe un certains nombre d ‘outils  que j’utilise en simultané pour faire levier sur les interférences qui limitent le retour vers la santé. Ces mêmes actions appliquées séparément  seraient insuffisantes.  

 

CONDITIONS DU TRAITEMENT

 

Un bilan radiologique étendu sera effectué dans un premier temps afin d’éliminer toutes contrindications. Il permet également d’évaluer l’état de votre colonne vertébrale et d’apprécier ainsi les chances de correction.

Un compte rendu général vous sera fait en début de traitement.

 

 

EN QUOI CONSISTE LE TAITEMENT ?

 

Pas de recette toute faite, pas de médicament.

L’approche thérapeutique comporte des outils de techniques manuelles appelées Ajustement Chiropratique, techniques crânienne et crânio-sacrée, équilibrage de l’articulation temporo-mandibulaire, des méridiens…

 

LE TAUX DE REUSSITE MOYEN  EST DE 50 %, de  20 % D’AMELIORATION ET 30 % D’ECHEC.

 

Un dysfonctionnement éliminé à son stade primaire, même s’il est cliniquement silencieux, peut éviter des réactions en chaîne qui aboutissent à la maladie déclarée.

 

Pour guérir, il faut d'abord comprendre

pourquoi on est malade !

 

 

 

Bruno LECLERC

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21 janvier 2008 1 21 /01 /janvier /2008 13:49

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L’ANALYSE TEMORO-MANDIBULAIRE,

CRANIENNE ET CERVICALE.

 

 

 

Les problèmes de mâchoire sont ceux de l'articulation temporo-mandibulaire (A.T.M) qui relie la mandibule (mâchoire inférieure) au reste du crâne. L'articulation se situe juste en avant du bout de l'oreille ; il y en a une de chaque côté.

 

 

QUELLES EN SONT LES MANIFESTATIONS ?

 

Les manifestations symptomatiques de ce type de problème sont variables et vont de la simple déviation à l'ouverture ou à la fermeture, au blocage complet. Quelque fois, l'ouverture est réduite. Les répercussions de ces problèmes sur la mastication, voire l'élocution sont évidentes. La gêne peut être intermittente et les blocages momentanés, ne survenant que lors de bâillements importants, accompagnés ou non de claquements ou craquements, voire de crépitements qui ne constituent pas un critère en soit.

 

Ø     Craquements,

Ø     Blocage de la mâchoire,

Ø     Douleurs faciales,

Ø     Migraines et céphalées,

Ø     Acouphènes,

Ø     Douleurs ophtalmiques,

Ø     Fatigue oculaire,

Ø     Vertiges et perte d’équilibre,

Ø     Bruxisme,

Ø     Cervicalgies,

Ø     Mal de dos, etc...

 

 

QUELLES CAUSES POSSIBLES ?

 

L'origine de ces problèmes peut-être  traumatique (choc direct au menton…) ou micro-traumatique (déséquilibre dentaire, contact prématuré, malocclusion, mastication unilatérale, arrachage de dents, autre soin dentaires, anesthésie dentaire…)

Les problèmes de cervicales sont une cause majeure de déséquilibre de l'A.T.M.

 

 

 

 

L'APPROCHE ET LE TRAITEMENT DE KINESIOLOGIE APPLIQUEE.

 

L'évaluation en Kinésiologie Appliquée est unique dans son approche globale, elle est basée sur le test musculaire qui permet une communication binaire (oui / non)  avec le corps. La performance du traitement de Kinésiologie Appliquée réside dans sa spécificité.

 

Le traitement en Kinésiologie Appliquée doit être  envisagé avant tout autre puisqu'il est le plus conservatoire ; il serait en effet dommageable d'intervenir chirurgicalement sur l'A.T.M. tant que l'équilibre crânien et cervical n'est pas restauré. La chirurgie doit rester une solution d'ultime recourt et non une première option. 

 

 

CONSEQUENCES GLOBALES.

 

Insoupçonnable mais pourtant cette double articulation est un facteur majeur du système postural. La posture est soumise à la gravité tout comme une pile d’assiettes. L’équilibre est un système en adaptation permanente. Il y a interdépendance entre ce qui se passe en haut (crâne, occiput, mandibule, langue, ATM, occlusion, muscles masticateurs, orbites, oreille interne…) et en bas (bassin, sacrum, sacro-iliaques, muscles posturaux…)

 

 

D'AUTRES PROBLEMES DE MACHOIRE.

 

Certaines douleurs de dents (sans présence de carie), de la mâchoire et névralgies faciales, sont imputables à une inflammation des racines nerveuses des nerfs cervicaux émergeants entre chaque vertèbre. Les traitements crâniens influent énormément sur l’équilibre de l’ensemble ATM occlusion, ainsi le bruxisme (grincement des dents) est une tentative du corps à libérer ces fautes crâniennes. La correction apportée en Kinésiologie Appliquée apporte souvent une solution radicale à ces types de maux.

 

 

MISE EN GARDE.

 

Les approches liées aux problèmes de maloclusion ou d’articulation temporo mandibulaire (ATM) sont très en vogue et attirent de nombreux thérapeutes plus ou moins qualifiés dans ce domaine mais surtout qui n’ont pas de qualification suffisemmment globale pour apréhender le corps dans son ensemble. Nous voyons régulièrement des patients sur lesquels l’intervension sur les dents ou l’ATM à été catastrophique pour le dos. L’exemple le plus commun est la pose de bacelets dentaires chez les jeunes qui bloque la sutur palatine et engendre bon nombre de déviation de la colonne vertébrale.

 

Les réglages à effectués doivent se faire dans un ordre cohérent qui n’est pas guidé par le symptôme.

Pour nous l’approche de l’ATM fait partie d’un tout Chiropratique indissociable.

 

 

 

 

Bruno LECLERC

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13 octobre 2007 6 13 /10 /octobre /2007 13:05

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L'EPILEPSIE

 


 « Rien dans la vie n’est fait pour être craint mais pour être compris » disait Marie CURIE.

 

Certaines expériences de changements dans l’état de conscience sont des incidents mineurs résultant de formes variées de stress physique, chimique ou émotionnel, à ne pas confondre avec les conséquences de maladies plus graves. S’il est une maladie qui de tous temps, à suscité l’effroi, de par la nature aiguë et spectaculaire des crises, c’est bien l’épilepsie.

 

Alors que les traitements médicaux standards ne proposent que des drogues palliatives, ce protocole original de kinésiologie appliquée, nous donne un éclairage différent sur ce mal, une approche nouvelle fondée sur la compréhension d’une notion novatrice, celle de la désorganisation neurologique.

 

 

Qu'est- ce qu'une attaque ?

 

Un type spécial d’état de conscience survient quand le cerveau décharge une quantité anormale d’énergie électrique et que se produit un « court-circuit ».

Suivant la région du cerveau, l’attaque peut prendre des manifestations très variables dans la forme, la durée ou l’intensité, allant de la perte totale de conscience avec raideur et tremblement de l’ensemble du corps, à la simple stupeur qui dure quelques secondes avec le regard dans le vide ou encore la crispation d’une partie unique du corps.

 

 

Les formes d’attaques.

 

-          La chute due à une faiblesse soudaine des muscles des jambes, sans perte de conscience.

-          La narcolepsie (arrivée imprévisible et soudaine du sommeil).

-          L’amnésie globale transitoire (perte de la mémoire de plusieurs heures, d’une journée

 

Idées erronées sur l’épilepsie.

 

Les épileptiques n’ont pas une espérance de vie réduite, ne souffrent ni de retard mental, ni de démence. L’épilepsie n’est pas considérée comme héréditaire. La plupart des épileptiques possède le potentiel nécessaire à une vie normale.

 

 

Une aura avant la crise.

 

La moitié des épileptiques ont une aura, une sensation ou une impression qui les prévient d’une crise imminente : fourmillement, odeurs étranges, impression d’extase ou bien une perception simplifiée de l’environnement ou le sentiment de « déjà vu ».

 

 

Certaines causes de l’épilepsie.

 

Les causes d’apparition, d’arrêt ou de fréquence des crises sont méconnues.

Pourtant, il est reconnu que les lésions cérébrales avant ou à la naissance, les traumatismes crâniens, les infections telles que les méningites ou les encéphalites - qui peuvent laisser des traces cicatricielles au cerveau - les tumeurs ou les congestions cérébrales, l’empoisonnement par le  plomb et les maladies du cerveau, sont tous des facteurs favorisant l’apparition.

 

Il a été démontré qu’une sorte de « court-circuit » se produisant dans le cerveau était souvent à l’origine des crises, mais également qu’un traumatisme au niveau du bulbe rachidien ou de la moelle cervicale pouvait déclencher la crise d’épilepsie.

Malheureusement, peu de victimes de traumatismes sont vérifiées d’un point de vue kinésiologique. Elles sont uniquement examinées pour éliminer la possibilité de fracture, d’hématomes, de tumeurs ou d’infections.

Ainsi subsistent des séquelles importantes de traumatismes anciens qui ne seront éventuellement détectées que des années plus tard par un Chiropraticien spécialisé en Kinésiologie Appliquée.

 

 

L’approche médicale traditionnelle.

 

Aucun médicament ne guérit  l’épilepsie et peu apportent un bénéfice réel au patient, souvent un effet palliatif.

Le contrôle des crises sur deux ans est effectif pour 30 à  37 % des patients, mais les chiffres chutent à approximativement 20 %  sur 5 ans et à 10 %  sur 10 ans sans crise.

Certains patients souffrent davantage des effets secondaires toxiques des anticonvulsifs que des crises elles-mêmes. Le choix du médicament ne peut se faire que par l’essai et l’erreur et la liste des effets secondaires liés aux traitements médicamenteux classiques est longue, variable et incomplète. Il suffit pour s’en convaincre de consulter le Vidal (dictionnaire médical des médicaments) : fatigue, apathie, léthargie sévère, troubles visuels, parole déformée, mouvements maladroits, confusion mentale.

 

 

L’approche en Kinésiologie Appliquée.

 

Il n'existe pas une mais des épilepsies, et nous n’avons aucune action sur certaines ses formes : épilepsie symptomatique (tumeur cérébrale, accident vasculaire cérébral, encéphalite, alcoolisme)

 

La Kinésiologie Appliquée (technique avancée exclusivement exercée par des  Chiropraticiens diplômés) a été d’un grand secours pour les patients épileptiques.

Les rapports concernant ces patients, dont les crises se sont trouvées diminuées en intensité, en fréquence ou ont complètement cessé après les soins en kinésiologie appliquée, sont nombreux. Le Chiropraticien kinésiologue ne traite pas le symptôme, mais la cause profonde du problème. Il élimine les aberrations présentes aux niveaux : crânien (faute crânienne), crânio-sacré et vertébral (aberration neuro-vertébrale) et équilibre les méridiens d’acupuncture (sans aiguille).

Après élimination de ces interférences nerveuses, le corps fonctionne mieux et peut mettre en œuvre ses facultés internes de guérison. Cette capacité d’auto-guérison est particulièrement spectaculaire chez les enfants qui ont souffert d’épilepsie généralisée primaire, sans autre lésion structurelle sous-jacente.

 

La désorganisation neurologique est un dysfonctionnement commun à des manifestations symptomatiques diverses (parfois même en l’absence apparente de symptôme) apparaissant comme complètement étrangères les uns aux autres, mais qui ont cependant la même origine d’un point de vue neurologique. Ceci explique le fait que ce protocole de traitement soit valide pour des maux aussi différents. La nature de cette méthode est très holistique (approche thérapeutique large et pluridisciplinaire) puisqu’il intervient aux niveaux : physique, chimique, énergétique, et psychologique.

 

 

Conclusion

 

Réellement, quiconque souffre de désordre neurologique idiopathique (qui n’est pas la conséquence d’une autre maladie) tel que l’épilepsie, la paralysie spasmodique, la surdité ou les désordres d’apprentissage, la dyslexie devrait nous consulter, pour s’assurer que son système nerveux est dénué d'interférence, et de  toute aberration neurologique (fautes crâniennes…), autrement ces patients ne pourront obtenir que des résultats très partiels, puisque la cause première n’aura pas été identifiée et traitée.

 

Les cas rebelles et chroniques répondent généralement très bien aux soins de kinésiologie appliquée, car l’importance de la désorganisation est telle qu’il faut un outil puissant pour réussir à rééquilibrer ces patients. Ces différents problèmes ont un point commun, celui de produire une réponse inadéquate du fait d’un dysfonctionnement au niveau du système nerveux. Tant que cette interférence majeure et fondamentale persiste la personne ne saurait aller mieux, quel que soit le traitement entrepris.

 

Une dysfonction éliminée à son stade primaire, même si elle est cliniquement silencieuse, peut éviter des réactions en chaîne qui aboutissent à la maladie déclarée.

 

Pour guérir, il faut d'abord comprendre

pourquoi l'on est malade !

 

 

 

Bruno LECLERC

CHIROPRACTEUR

Diplômé “Doctor of Chiropractic”

du Cleveland Chiropractic College - U.S.A

Kinésiologie Appliquée

Bio-énergéticien

 

88 allée Fleming

76230 BOIS-GUILLAUME

 

02 . 35 . 61 . 24 . 13

06 . 08 . 02 . 28 . 59

 

Site : chiro.over-blog.net

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